lundi 7 avril 2008

Science Fictive (2/3)


Le moyen-âge de la science
Et si nos ancêtres avaient entrevus une science qui soit une application autant qu’une étude ? Et si une discipline , en adéquation avec l’univers et la nature, existant a une époque que nous considérons primitive ? Pourrions-nous prendre le problème a l’envers et concevoir que la connaissance initiale fût, non pas perfectionnée au fil du temps, mais spécialisée, comme un regard que l’On pose dans la même direction ?
Si, en conservant une simplicité de fonctionnement en adéquation avec les cycles naturels, nos ancêtres étaient parvenus a définir a la fois, le Véhicule (que nous étudions sous tout ces aspects dans notre science), mais également la force, non-considérée aujourd’Hui, qui lui permet d’exister en tant qu’entité; une certaine Cause, dont l’aspect ‘créationniste’ ne peut que s’éloigner du dogme scientiste ?

Souvenons-nous que la civilisation arabo-musulmane durant son âge d’or a repris de nombreux ouvrages de la bibliothèque d’Alexandrie, et que déjà, les sillons de domaines spécifiques tels que l’astronomie, la géographie, ou la médecine des sciences grecques ou indiennes sont dissociés, pour les besoins de la traduction et du regroupement conceptuel émergeant.

Souvenons-nous du quadrivium de Boèce et du principe de rapprochement des sciences mathématiques; l’ arithmétique, la musique, la géométrie et l’astronomie. Au coté du Trivium (qui comprenait les disciplines littéraires) était formé l’ensemble des sept arts libéraux du haut-moyen âge .
En plus de cette catégorisation qui survient avec l’histoire , la Renaissance , quant a elle, acheva de traduire ce qu’il restait d’ouvrages antiques avant que la Grande peste et que la Guerre de cent ans ne se produisent. Dans l’antiquité, et ce jusqu’au XVIII eme siècle, la science est indissociable de la Philosophie ; la science était appelée encore ‘’philosophie naturelle’’ et c’est bien sur a l’époque moderne que l’accumulation du savoir heurta les convictions et dogmes religieux. C’est avec la révolution copernicienne et la transition avec le siècle des lumières que l’astronomie et la physique moderne deviendront un domaine d’étude autonome.

Descartes termina d’imprégner les sciences en occident de sa doctrine rationaliste car touchant de prés a des questions théologiques. Il permit d’ouvrir la voix a d’autres penseurs, Malebranche ou Spinoza, mais également des penseurs tels que Freud et Lacan, qui dans la continuité de cette démarche cumulative, achèveront de dissocier l’esprit de l’âme, la matière de l’esprit, le véhicule du ‘conducteur’. Bien entendu notre siècle, avec la professionnalisation des sciences, creusa encore plus le fossé entre les bases dont nous nous sommes servis, et le résultat de notre champs d’étude.

L’Histoire fut ainsi, malgré plusieurs intentions de recherche d’Une science universelle, la victime de l’oubli de l’Intention de départ ; une vie adaptée a notre environnement, et améliorée par une science responsable. Elle est devenue, avec le temps et l’évolution un segment d’un mode de vie. L’autre, lui, a disparu….



Traces et mystères
L’extrême nécessité d’ouvrir les champs d’études et de revoir notre vision sur le monde se traduit également a travers notre théorie régulière sur l’évolution et nos origines. Les sciences s’étendent bien sur a la biologie, anthropologie paléontologie et archéologie. Il semble logique , comme nous l’avons, qu’une étude distinctive amène a des théories transformistes et évolutionnistes.

Si les mathématiques et les mathématiques appliqués montrent une approximation dans des champs d’études tels que l’astronomie ou la physique, des preuves plus directes et parlantes existent quant a notre conception erronée du passé et de notre berceau effectif.

De nombreux textes anciens, et pour ainsi dire les plus anciens retrouvés a ce jour, font état de connaissances véhiculées d’anciennes civilisations éduquées par les Dieux. En –316 le Grec Évhémère envisage la possibilité que les mythes décrits par la Culture ne soit que des représentations d’Histoires réelles , et a notre époque, l’historien Zaccaria Sitchin fait état des tablettes sumériennes et d’une Histoire de notre Humanité a revoir complètement.
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En effet; comment expliquer… les ruines radio-actives d’Harappa et du Mohenjo-Daro ? Les squelettes géants découverts aux quatre coins du globe, les ruines au large de Bimini, la civilisation des mégalithes du pacifique jusqu'à la Bretagne, l’existence d’un langage ‘dravidien’ qui demeure indéchiffré a ce jour, la connaissance de Sirius et Sirius B par les Dogons d’Afrique, la présence systématique de ‘’dieux civilisateurs’’ dans toutes les traditions, l’érection de blocs que même nos grues ne pourraient pas soulever comme a Malbeck ? qui a érigé les pyramides bosniaques ? qui a inventé les piles électriques de Bagdad, la machine d'Anticythère, les crânes de cristal, la nanotechnologie à l'ère glaciaire en Oural, l’écriture sur le site préhistorique de Glozel, les pierres gravées d'Ica , les reproductions d'objets volants (en Égypte, en Amérique Centrale...), les objets fossiles de plusieurs millions d'années, la Pierre de Dashka ou la carte du créateur , la découverte de squelettes dérangeants, comme ceux d’Abel, de tournai ?

Tout cela existe mais peu s’interrogent réellement sur l’utilité que nous pourrions faire de civilisations dont l’existence n’est pas ‘’scientifiquement établie’’… nous avons des traces et des mystères .

Nous avons les traces, et les mystères, mais nous étudions de manière scientifique des aspects de la Nature alors que la Mythologie et les concepts orientaux dont toutes nos sciences par déviation, sont issues, sont reléguées au rang de rêves, de douce philosophie et de concepts pour les crédules.

Or, des découvertes récentes font état d’un substrat commun a tout ces mystères, et la conventionnelle théorie de l’évolution devient très fantaisiste face une théorie de la bipédie initiale qui semble, a l’inverse, lier les fragments de mystères entre eux, et révéler une histoire humaine bien plus ancienne, et évoluée, que ce que l’on croit et l’on vit actuellement.




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