Science Fictive (3/3)

Une autre voie est entrevue de nos jours . Voilà pourquoi certains mythes, notamment sur des continents engloutis refont surface.

Nous savons aujourd’hui qu’un cataclysme a eu lieu vers – 10000 ans avant JC. C’est , bien sur, a cette date que notre humanité ‘’officielle’’ débute… de zéro ?

Il est plus difficile de mettre la Timée de Platon et son texte sur l’Atlantide au rang de simple mythe a la lumière d’une civilisation qui se serait développée sur un continent disparu, laissant derrière elle des relans de langage , dans les langues indo-européennes, des vagues souvenirs d’une structure spécifique (monuments mégalithiques) et autres sources communes aux quatre coins du globe. Mais nous pouvons étendre la questions de continents engloutis a la vue de preuves atypiques, comme le ‘’traité des machines’’ concernant des machines volantes, dans les Védas indiens, les crâne de cristal découverts par Mitchell-Hedges , ou bien des nano-artefacts découverts dans l’Oural et datant de l’ère glaciaire….
Vers 1830, le zoologiste anglais Slater avait remarqué l'existence des lémures, cet ordre inférieur de primates, à la fois à Madagascar et en Malaisie, ce qui posait un problème, ces sortes de petits singes étant absolument incapables d'avoir traversé l'Océan Indien à la nage. Une seule hypothèse était donc possible : l'existence, à l'époque tertiaire, d'un continent disparu, auquel fut donné le nom commode de Lémurie, et qui englobait, en gros, tout l'actuel bassin de l'Océan Indien
Les questions soulevées par ces artefacts atypiques, les mystères de certains monuments, de certaines langues, ainsi que, comme nous l’avons vu, certaines espèces, trouve réponse dans un bassin, aujourd’hui disparu, ayant permis a d’autres humanités de développer une connaissance qui demeure, visiblement , inégalée.

Il est possible de dire que des traces existent, perdue ou diluées dans des traditions devenues principalement exotériques . Les religions, par exemple, sont l’aboutissement, sous un seul aspect, d’un message orienté d’une fraction de ces connaissances; le morceau manquant, quant a lui, peut être entrevu différemment.

Et si la spiritualité orientale, subsistance de traditions plus anciennes, connue principalement a travers le Bouddhisme en occident, était effectivement fonctionnelle ? Et si les Védas expliquaient comme l’Homme d’avant, disparu, vivait en adéquation et en connaissance totale des Lois naturelles, sans jamais dissocier science et religion ? Et si ce courant Gnostique, que l’on retrouve sous différents noms a travers l’Histoire, était la préservation de cette Tradition qui cherche a revivre ?

Plus l’étude de notre passé devient profonde, plus la fascination pour ces civilisations et leur fonctionnement croît. Plus notre science devient faillible, et plus des intelligences suivent la direction de nos ancêtres. Pas de prêtres, pas de scientifique ni de cultivateur, mais un Homme complet. Un homme qui connaît la Nature et ses Lois , que notre physique (quantique !) commence a entrevoir a travers de nouvelles formes de magnétisme et de courants.

Les différents véhicules du Karma prendraient-ils un sens avec ces découvertes ? l’avenir nous le dira, peut-être. Les vestiges d’un monde dans lequel l’Homme était Homme, dicté par son Cœur et organisé selon la Nature refait surface en ces temps troublés. Ils nous montrent qu’Il n’y avait pas besoin de professions, de spécialisations, et de concepts établis dans des tiroirs a idées pour bâtir Gizeh, Avebury, ou les Maois Pascuan….
Leurs vestiges continuent de narguer nos constructions qui s’effritent après seulement quelques siècles d’existence . Combien de temps penserons-nous a ‘’comment’’ les réparer, alors qu’elles nous crient de penser différemment….

Si une élite a existé, elle concernait toute une civilisation qui ne connaissait pas ce mot.

Une incompétence planétaire nous a éduqué, et a complexifié notre rapport a notre cœur, a la nature et au vrai. Ces liens se détendent, avec l’avènement nécessaire de découvertes, de penseurs, de noblesse et d’intégrité.
D’autres valeurs en cours, actuellement, ne peuvent rivaliser contre la lumière d’une connaissance qui, a l’inverse de la science que nous connaissons, simplifie, dénoue, et apaise.