Il est entendu que la confusion est une partie de notre chemin, a un moment ou a un autre. Il nous arrive alors de marcher, de courir, sans lever le nez sur ce qui est beau, ce qui suscite l’émotion, la joie, et le bonheur.
C’est l’ultime vérité, l’alternance des états, de la lumière vers l’obscurité, et a vrai dire; a part nous améliorer a chaque fois, que pourrions-nous bien faire ?
Arrêtons-nous, au hasard d’une ville, au hasard d’une vie, et observons nos réactions face a l’adversité; nous pouvons dissocier différentes tendances, différentes propensions qui conditionnent, de façon aussi certaine que le feu brûle, les structures du ‘’présent’’ a venir.
Ne disons-nous pas , parfois; cette personne transforme tout ce qu’elle touche en or !
Et d’Une autre qu’elle les transforme en m**rde.
La vie, dans ce qui compose le substrat des croyances de l’humanité, est Karma; elle est réactive a qui nous sommes. Regardons-la bien ! n’ayons pas peur, d’avancer face au miroir, de se regarder, totalement nu. Cela implique, ses propres échecs, ses défauts et les actions manquées. Cela comprends nos peurs, nos erreurs et nos torts inavouées.
Nos succès aussi, nos accomplissements. Il n’est bien sur pas question de morale, mais de sentiment personnel. Mais ces derniers sont passés, déjà, alors que contempler les erreurs, a deux avantages :
Elles permettent de se préparer a ce que notre propre Nature nous réserve; n’est-il pas dit qu’Atma, la Vérité au fond de nous, notre CŒUR, si dur a trouver, est en adéquation avec les lois naturelles de ce monde ?
N’est-il pas dit que Maya l’illusion se lèvera grâce a une vie droite, une vie de Dharma, qu’il faut entendre dans le sens de droiture et de cohérence avec notre Nature propre.….. tellement inaccessible, tellement profonde, pour la plupart d’entre nous.
N’est-il pas écrit, enfin, dans ces textes remontant a des millénaires avant la naissance du Christ, que le but ultime de toute existence est Moksha, Samsara, la libération de l’égo, l’extinction de l’extinction du Soi , le retour a l’unité ?
L’homme a légué a ses petits ancêtres (nous) des monuments sur le combat de toute vie consciente ; de véritables chefs d’œuvre sur la vraie Djihad, la véritable Grande guerre, qui est exclusivement et prioritairement a mener contre soi-même, contre le monde du désir et de la bassesse Tamas.
‘’Que celui qui a des yeux, voit
Que celui qui a des oreilles, entende’’
Ces phrases bibliques ne réfèrent pas aux sens. Les paroles sacrées nous montrent simplement le chemin vers un univers méconnu, LE NÔTRE. Il signifie; la vie n’est pas facile, elle est surprenante, et cruelle parfois. Les difficultés que nous croisons doivent seulement être perçues, personnellement, c’est la seule chose qui importe.
La façon dont nous réagissons a ce que nous avons, donc, provoqué, nous pose indirectement, la question du choix;
Rétablir l’équilibre ? conserver le déséquilibre ?
Je disais, plus haut, qu’observer ses erreurs, a un autre avantage; celui d’initier en soi une colère qui n’a d’autre cause que nous même. Et cette colère, si nous souhaitons l’extérioriser, devrait alors s’assouvir par une souffrance supérieure a celle de la colère elle-même.
Et pour ceux qui se sont arrêtés un instant, sur le bas-coté de l’autoroute de leur vie, et qui ont expérimenté cette insatisfaction personnelle et brutale, cette incompréhension qui s’est transformée en colère, colère qui enfin, sera le prémisse de leur renaissance : ceux-la, qui ont transformé leur colère en chef d’œuvre d’accomplissement personnel, en moteur, en véritable inspiration, ceux-la ont reçu les cadeaux du Chemin que personne d’autre ne peut voir.
Les autres succés passent et lassent tous, mais le combat sur soi-même est la grande Victoire de tout les temps. La gloire, la force, et l’éternité , c’est son propre pardon.
C’est l’ultime vérité, l’alternance des états, de la lumière vers l’obscurité, et a vrai dire; a part nous améliorer a chaque fois, que pourrions-nous bien faire ?
Arrêtons-nous, au hasard d’une ville, au hasard d’une vie, et observons nos réactions face a l’adversité; nous pouvons dissocier différentes tendances, différentes propensions qui conditionnent, de façon aussi certaine que le feu brûle, les structures du ‘’présent’’ a venir.
Ne disons-nous pas , parfois; cette personne transforme tout ce qu’elle touche en or !
Et d’Une autre qu’elle les transforme en m**rde.
La vie, dans ce qui compose le substrat des croyances de l’humanité, est Karma; elle est réactive a qui nous sommes. Regardons-la bien ! n’ayons pas peur, d’avancer face au miroir, de se regarder, totalement nu. Cela implique, ses propres échecs, ses défauts et les actions manquées. Cela comprends nos peurs, nos erreurs et nos torts inavouées.
Nos succès aussi, nos accomplissements. Il n’est bien sur pas question de morale, mais de sentiment personnel. Mais ces derniers sont passés, déjà, alors que contempler les erreurs, a deux avantages :
Elles permettent de se préparer a ce que notre propre Nature nous réserve; n’est-il pas dit qu’Atma, la Vérité au fond de nous, notre CŒUR, si dur a trouver, est en adéquation avec les lois naturelles de ce monde ?
N’est-il pas dit que Maya l’illusion se lèvera grâce a une vie droite, une vie de Dharma, qu’il faut entendre dans le sens de droiture et de cohérence avec notre Nature propre.….. tellement inaccessible, tellement profonde, pour la plupart d’entre nous.
N’est-il pas écrit, enfin, dans ces textes remontant a des millénaires avant la naissance du Christ, que le but ultime de toute existence est Moksha, Samsara, la libération de l’égo, l’extinction de l’extinction du Soi , le retour a l’unité ?
L’homme a légué a ses petits ancêtres (nous) des monuments sur le combat de toute vie consciente ; de véritables chefs d’œuvre sur la vraie Djihad, la véritable Grande guerre, qui est exclusivement et prioritairement a mener contre soi-même, contre le monde du désir et de la bassesse Tamas.
‘’Que celui qui a des yeux, voit
Que celui qui a des oreilles, entende’’
Ces phrases bibliques ne réfèrent pas aux sens. Les paroles sacrées nous montrent simplement le chemin vers un univers méconnu, LE NÔTRE. Il signifie; la vie n’est pas facile, elle est surprenante, et cruelle parfois. Les difficultés que nous croisons doivent seulement être perçues, personnellement, c’est la seule chose qui importe.
La façon dont nous réagissons a ce que nous avons, donc, provoqué, nous pose indirectement, la question du choix;
Rétablir l’équilibre ? conserver le déséquilibre ?
Je disais, plus haut, qu’observer ses erreurs, a un autre avantage; celui d’initier en soi une colère qui n’a d’autre cause que nous même. Et cette colère, si nous souhaitons l’extérioriser, devrait alors s’assouvir par une souffrance supérieure a celle de la colère elle-même.
Et pour ceux qui se sont arrêtés un instant, sur le bas-coté de l’autoroute de leur vie, et qui ont expérimenté cette insatisfaction personnelle et brutale, cette incompréhension qui s’est transformée en colère, colère qui enfin, sera le prémisse de leur renaissance : ceux-la, qui ont transformé leur colère en chef d’œuvre d’accomplissement personnel, en moteur, en véritable inspiration, ceux-la ont reçu les cadeaux du Chemin que personne d’autre ne peut voir.
Les autres succés passent et lassent tous, mais le combat sur soi-même est la grande Victoire de tout les temps. La gloire, la force, et l’éternité , c’est son propre pardon.
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